Petite promenade très gratifiante.

Achilleus fait sa petite promenade matinale dans les geôles et passe devant une cellule occupée.
Il s’arrête et dévisage le prisonnier, il est jeune mais possède une barbe drue, cela fait longtemps qu'il n'a pas vu la lumière du jour. Vêtu de haillons il se redresse.
Le templier garde sa prestance bien que ses habits soient sales et abimés, il n'a pas eu le temps de se changer.

Il viens de concocter son dernier poison, et veut le tester, c'est un poison de torture, ses effets prévus sont de produire une douleur vive aux jambes et a la tête mais Achilleus espère un petit supplément et a rajouté de l'huile de tournesol.
Il trempe un petit couteau dans la fiole de poison et appelle un garde. Celui-ci vient, Achilleus lui ordonne de tenir le prisonnier les bras dans le dos et il s’exécute.

Le meurtrier regarde sa dague, elle brille légèrement plus au soleil, intéressant. Il s'approche du prisonnier qui reste calme.
Il plante un tout petit peu le couteau dans la chaire de son avant bras puis fait une longue coupure sur son mollet. L'homme hurle et se baisse.

"- Vous pouvez le lâcher maintenant. Dit Achilleus au garde d'une voix calme tandis que le prisonnier se tord de douleur parterre."

Il examine les blessures, celle de l'avant bras est bleu et des tâches apparaissent autour, celle du mollet en revanche présente des marques rouges parallèles à la coupure. la peau commence a se craqueler par endroits. quarante-trois secondes, l'homme est mort.

"Très bien" chuchote Achilleus a lui-même, "voila qui sera un excellent poison".
Puis il repart en marmonnant des paroles pour lui-même.

*regarde la scène de l'extérieur, par une petite ouverture, ornée de barreaux.*

**Mon Dieu, que se passe-t-il dans ces cellules... Il va falloir que j'en avertisse l'Elite et qu'on stop ce massacre !**

En repartant, Achilleus remarque une ombre a l'une des fenêtres.

"Qu'on renforce la garde dans cette partie du château !"

*s'en va en évitant facilement tous les dispositifs de sécurité.*

**Pas très doués, ces Templiers...**